Un vol assez long, dans un avion gigantesque que nous n'avions jamais emprunté, un A380....
Mais hormis plus d'une heure de de retard à Paris, le voyage était assez confortable, silencieux, et surtout cet avion est si énorme qu'on ne sent rien au décollage, et que l'atterrissage est tout en douceur!
L'escale à Doha à été malheureusement trop brève à cause du retard pris par notre premier vol, et nous avons du nous dépêcher pour prendre le second
Mais l'aéroport de Doha est non seulement immense, c'est aussi un aéroport ultra moderne, et qui vit à 100% y compris au coeur de la nuit.
Au décollage du second vol, nous avons pu admirer la ville de Doha toute illuminée au coeur du désert, trop illuminée peut être, ce qui cause indéniablement une immense pollution lumineuse!
Le vol s'est déroulé sans histoires, le peu de passagers présents dormaient en profitant des nombreuses places vides pour s'allonger.
Un peu avant la descente ers le Kilimandjaro, nous avons pu voir tout d'abord le soleil se lever sur les terres désertiques d'Ethiopie, puis nous avons entamé la descente, et nous sommes passés tout près du Mont Meru, troisième plus haute montagne d'Afrique avec ses 4200 mètres d'altitude!
Depuis l'avion on distinguait parfaitement la forme se son cratère en partie effondré.
Et ce fut enfin l'arrivée sur le sol Tanzanien, la découverte de l'Afrique !
Les formalités se sont passées dans la bonne humeur générale, on est loin ici de l'austérité et de la figure souvent rébarbative des officiers Français.
Qu'il s'agisse des personnes chargées des contrôles sanitaires et des test anti covid ou des agents de la police de l'immigration, ici tout le monde à le sourire, et le premier mot prononcé est Karibu !! Bienvenue en Swahili!
Une fois passées ces formalités administratives, notre guide et le chauffeur nous attendaient à l'extérieur;
