En descendant sur Corpus Christi sur les 2/3 du trajet il n’y a pas grand chose à part des étendues sans rien d’autre que des prairie, des arbres et des cactus en fleurs. De temps à autre une maison, voire un forage. A une cinquantaine de kilomètres de notre destination on tombe sur des dizaines d’éoliennes mais toujours peu d’habitations. On est surpris de voir tout ce vert. On imagine qu’entre juin et septembre cela ne doit pas être le cas.
Petit à petit les maisons refont leur apparition et on se retrouve dans une ville typique américaine avec sa zone industrielle d’abord puis le centre.
On a déposé nos affaires pour cette nuit sur l’île Padre. On y arrive pas un long pont.
