Je prends le train direction zentrum, qui m'emmène non loin des rues commerçantes et bondées de touristes.
Je fait une halte dans un café viennois pour déguster un café Oma's et un Apfelstrudel qui ne saurait égaler celui de la tante lise mais tient quand même la route.
Pendant que mes papilles se frottent à la douceur de la pomme cannélee et l'amertume du café je commence un roman dont le titre m'avait laissé curieux. " Son odeur après la pluie". Et je plonge dans ces mots qui viennent me rappeler la joie d'avoir eu ma chienne et la tristesse de m'en être séparé.
Retour a l'aéroport avec le train, que je trouve avec peine. Les indications Autrichiennes ne sont décidément pas meilleures que les Françaises.