On quitte Playa del Carmen pour rejoindre Bacalar, après environ 3h30 de route. À l’arrivée, on découvre la fameuse lagune aux sept couleurs : un spectacle magique. On s’installe tranquillement et profite du calme apaisant de ce petit coin de paradis.
Bacalar et ses eaux !!
Après quelques jours bien remplis à Playa del Carmen, entre excursions, plongée et plage, on en avait assez vu .
Alors on a pris la route tôt le matin, cap au sud, direction Bacalar.
3h et demie de route à travers la jungle, des villages aux couleurs passées, des portions de route droites à perte de vue… une vraie traversée du Mexique profond.
Pas grand-chose à voir sur le trajet, mais cette impression de s’éloigner peu à peu de l’agitation touristique est exactement ce qu’on voulait car il y a de la vie à Playa del Carmen !!
Et puis, après un dernier virage, Bacalar se dévoile. Et là… wow. C’est difficile à décrire. La lagune, immense, calme, sans fin… avec ses nuances de bleu qui changent à chaque mètre. Du turquoise presque fluorescent au bleu marine profond, en passant par des reflets verts laiteux. Un vrai choc visuel. On se regarde sans rien dire, juste bouche bée. Je crois que c’est à ce moment-là qu’on a compris qu’on venait d’arriver dans un endroit vraiment spécial.
Notre hébergement est simple, mais parfait : un petit bungalow les pieds dans l’eau. Hammac, cocotiers, silence. Il ne nous en faut pas plus. On passe l’après-midi à se poser, à marcher doucement le long de la lagune, à s’allonger sur le quai en bois pour écouter le clapotis de l’eau. Aucune envie de sortir, ni de planifier quoi que ce soit. Juste être là. Bacalar, c’est une parenthèse. Une bulle hors du temps. Et ça fait un bien fou.
📝 Mon avis
Je ne m’attendais pas à un tel choc visuel. C’est vraiment l’un des plus beaux endroits que j’ai vus. Juste s’asseoir au bord de la lagune, c’était déjà un moment fort.
