Français:
Le 25 octobre 2016, nous passons finalement la frontière ouzbèke-kazakhe et le train s'arrête dans la première ville d'importance: Beyneu. Après être parti à 4h30 du matin, nous arrivons à 21h ! Une fois descendu du train, nous cherchons un hôtel (comme d'habitude). Après une première demande infructueuse dans un hôtel à côté de la gare, nous trouvons un hôtel plutôt classe un peu en centre-ville, bien qu'un peu cher comparé à ce à quoi nous étions habitués au Kazakhstan. Heureusement nous pouvons payés par carte bancaire car nous n'avons pas de tengue (la monnaie kazakhe) ! En tout cas, nous sommes contents de passer une bonne nuit au chaud.
English:
On 25th October, we finally cross the Uzbek-Kazakh border, then the train stops in the first town: Beyneu. We have been leaving at 4:30 am this morning, and we arrive at 9 pm! Once in the city, we are looking for an hostel, as usual. After an unsuccessful try near the train station, we find a quiet good hotel near the city center; it's a little bit expensive, compared with what we are used to in Kazakhstan. Fortunately we can pay with credit card, because we don't have any Tengue (Kazakh currency) left ! Anyway we are very happy to sleep well in a warm bed.
Français:
Le lendemain matin, nous commençons par tirer de l’argent au distributeur. Puis nous essayons de changer le reste de nos sum ouzbek, mais aucune banque ne les accepte. Nous demandons alors aux chauffeurs de taxi dans la rue s’ils connaissent des gens intéressés… On nous dirige vers le marché et nous trouvons un acheteur potentiel mais il est prêt à nous acheter que quelques coupures. Or il nous reste 160 000 sum (environ 28 euros). En continuant à demander dans le marché nous trouvons finalement une dame qui après négociations nous achète nos billets en échange de l’équivalent en tengue. Sur le marché, nous voyons des étals sur lesquelles se trouvent une poudre noire et relativement fine, mais nous ne savons pas de quoi il s’agit…
Ensuite il est temps pour nous de rejoindre la ville de Janaozen à partir de laquelle nous voulons visiter des mosquées sous terre. Il n’y a apparemment pas de bus ni de marshrutkas. Nous devons donc payer le prix fort en prenant un taxi partagé. C’est reparti pour une après-midi de transport ! A un moment nous nous arrêtons et le chauffeur nous fait signe de descendre. Il nous avait assuré aller à Janaozen mais il va en fait à Aktau. Ce n’est pas très surprenant car nous commençons à avoir l’habitude de cette façon de procéder. Le chauffeur nous trouve un autre taxi qui va lui à Janaozen nous nous assurons qu’il paye notre course auprès de notre nouveau chauffeur, puisque nous avions payé jusqu’à notre destination finale. Tout se passe bien et nous revoilà dans la bonne direction ! La suite dans le prochain article.
English:
The day after, we first go to withdraw money at an ATM. Then we try to change the rest of our Uzbek Sum, but no bank wants to buy it. So we ask the taxi drivers in the street if they know someone who can be interested in… We are led to the market, and we find a potential buyer, but he wants to buy only a few notes. However we have 160,000 Sum (around 25 dollars). Then we keep asking and find a woman, who buys us the whole amount in exchange of Tengue notes. In the market, we can see people selling a black powder, but we don’t know what it is.
Then it’s time for us to
go to Janaozen, from where we want to visit underground mosques. There is no
bus or marshrutkas, so we have to pay the full price and to take a shared taxi.
Let’s go for a whole afternoon of traveling again. After few hours, the driver
asks us to get out of the taxi; he has told us that he was going to Janaozen,
but in fact he’s going to Aktau. We are not surprised, as we are now used to
the way of the taxi drivers. Our driver finds us another taxi to go to
Janaozen, we just make sure that he’s paying the fare for us, because we have
already paid for the whole journey. Everything is ok, and we are again in the
good direction! Next part in the next article!