Trois pays et deux sacs à dos

2015 : on décide de tout plaquer et d'acheter nos billets pour l’Islande, le Canada et l’Irlande. Sans billet retour. Mai 2016 : clap de fin à Lyon et grand départ. Un peu de flip mais aussi fichtrement impatients !

Arrivée à Reykjavík et début de notre tour organisé. Avec une première journée sur les routes, on peut dire une chose : l’Islande, on en a tellement rêvé... et on est pas déçus !

On continue vers l’ouest de l’Islande, autour de la péninsule de Snaefellsnes, qu’on sait tout à fait écrire sans faire de copier-coller.

Les fjords... comment dire... aurons-nous les mots et les images pour décrire le caractère majestueux de cette région ?

Nous émergeons des fjords de l’ouest pour entrer dans la région des chevaux islandais. Nous commençons la traversée de l'Islande ouest-est, dans une zone beaucoup plus volcanique... et beaucoup plus touristique.

À l’est et à l’ouest, les fjords islandais sont bien différents (montagnes plus vertes et moins hautes à l’est, fjords moins profonds). Petits moments marquants de notre passage dans la partie orientale de l’île.

De la pluie, de la brume et du touriste... Notre passage dans le sud n’aura pas été aussi agréable que le reste de l’Islande.

La première étape de notre voyage terminée, c'est le moment de revenir sur nos impressions de cette terre islandaise : paysages tourmentés et esprits sereins.

Quelques jours de repos dans la capitale de la Nouvelle-France.

Départ de Québec par la 132 Est, route touristique que nous suivrons tout au long de notre périple autour de la péninsule de Gaspésie. Mais avant d’arriver en Gaspésie, nous passons par deux régions : Chaudière-Appalaches et Bas-Saint-Laurent.

Deux nuits dans une yourte au bord du Saint-Laurent, à écouter le chant du phoque ... et la pluie.

On ne va pas se mentir, la Gaspésie, on y allait pour continuer à prendre notre grand bol d'air frais. Grâce aux paysages magnifiques du bord du Saint-Laurent, mais aussi aux parcs nationaux.

Les fjords, on en avait pas eu assez en Islande, du coup on en a revu au Québec. Et ça fait du bien.

Dernière étape de notre voyage canadien dans l'une des plus grandes villes francophones au monde : Montréal. Petite pause de plusieurs jours nous permettant de dresser un bilan de ce parcours.

Nous quittons le Canada fin juin pour notre dernière destination : l’Irlande. Vol Montréal-Dublin : deux heures de retard au décollage, une à l’arrivée, nuit blanche dans l’avion, et 3h30 de bus vers Cork à l’atterrissage. On est arrivés pas mal fatigués, c’est peu de le dire...

Puisque nous avons dû partir plus tôt que prévu du comté de Cork, nous décidons d’aller visiter Limerick, ville qui nous attirait mais que nous n’avions pas encore casée dans notre calendrier.

Après nos escapades dans le comté de Cork et à Limerick, nous atterrissons à Athlone pour une semaine. Pourquoi Athlone ? Aucune idée.

Notre mois de juillet se passe à Sligo, au nord-ouest de l’Irlande. Pays du poète Yeats, entre mer et collines.

Notre périple se termine par Galway, où nous passons tout le mois d’août.

Les îles d’Aran, archipel au large de Galway, nous donnent la meilleure idée du siècle : faire une escapade sur Inis Mór, la plus grande des îles. En plus, on peut voir des dauphins dans la baie !

Ce billet ne fera aucune référence à Michel Sardou, à l’exception de cette référence à Michel Sardou.