... qu'un courant de face d'au moins 3 noeuds nous freine fortement.
Nous refaisons donc un routage avec notre logiciel et nous suivons bêtement ses instructions.
C'est ainsi que nous nous retrouverons à naviguer en pleine nuit au large des côtes marocaines avec un vent très capricieux allant de 10 à 25 noeuds sous une succession de grains entourés d'une centaines de cargos.
Nous arriverons enfin le 12 septembre à Gibraltar, crevés et bien vexés d'être aussi nuls.
Bravo les marins d'eau douce !
Jean-Charles attends sur le tarmac que l'avion se pose ou décolle.
En effet l'aéroport a été construit pendant la seconde guerre mondiale et se trouve juste après la frontière.
Ils arrêtent donc piétons et voitures le temps que les avions décollent ou atterrissent.
Fun non ? :)