C'est le grand départ. La route sera longue, mais en dormant, le temps passe déjà un peu plus vite. Ne pas oublier de prendre ses effervescents si besoin !
Mais avant tout, il faut se réveiller
Et la tâche est ardue. On doit tous se rejoindre, les participantes et les professeurs pour 5 heure. En prenant le temps de se laver, se préparer, et manger un morceau avant de partir, nous avons du nous réveiller à 3 heure.
Pourtant, l'adrénaline faisait son travail, je n'avais presque pas sommeil, j'étais toute guillerette. Jusqu'à passer le pas de la porte et sentir le souffle glacé. De quoi refroidir mes ardeurs.
Le coup fatal fut porté une fois dans la voiture. Nous étions toutes assommées. Heureusement pour nous, nous avions de chez nous environ sept heures pour arriver jusqu'à Paris. Evidemment, les professeurs ont pu se reposer et prendre un café à plusieurs arrêts de repos.
Dans l'aéroport, un peu de patience
Nous sommes arrivées un peu plus tôt que prévue. Le vol n'était qu'à 15 heure. On a donc du patienter quelques heures. Nous avons pu manger notre repas de midi, et nous balader dans les allées de l'aéroport.
La plupart des filles avaient déjà pris l'avion. Il n'y avait donc pas de peur particulière, on attendait seulement. Et c'était long....
A Bologne : rallumez les lumières !
Une fois dans l'avion, nous en avons pour encore 1h40 de vol. Un café et un petit gâteau nous sont servis pour patienter. Ca fait du bien ! Pourtant, je sens le mal de tête pointer. Nous avons passé une grande journée sur les routes, à dormir puis nous réveiller. Voilà un petit effervescent qui sera bien utile !
Puis nous arrivons à Bologne à 16h40. On attend nos bagages en soute (quelle galère..) et nous sortons de l'aéroport. Et là.... Stupeur. Il fait nuit à 17h. De quoi déstabiliser. Bien sûr, nous avions été prévenues que la nuit tombait plus tôt, mais la réaction reste la même.
A Pesaro
Voilà la dernière ville de la journée.
Nous n'avons rien pu voir depuis la voiture et prendre aucune photo, le ciel étant noir.
Nous avons rencontré notre hôte, ainsi que son fils. Nous ne nous attardons pas, et partons presque aussitôt nous coucher.
