Après 5 longues heures de voiture, nous voila dans cette grande ville qu'est Furano. Et non cette fois-ci je ne suis pas en train de faire de l'ironie. C'est vraiment une très grande ville avec un très grand domaine !
Clairement, la neige est totalement différente par rapport à Niseko. Bien plus en abondance. On en a donc profité pour faire chauffer la carte mémoire. Objectif numéro uno: faire rager le plus de français possible. A vous de nous dire si ça a marché !
Furano c'est top, mais on nous a soufflé à l'oreillette que le mont Asahidake (rien à voir avec la bière Asahi) serait tout aussi bien.
Après s'être pommé grâce à notre GPS en Japonnais, on arrive au pied d'un grand téléphérique. On a beau avoir les cuisses cramoisies, on s'équipe pour monter en peau en haut de mont et pour ainsi ne payer qu'une seule remontée. ERREUR ! Visibilité ZERO ! Il neige tellement qu'il est impossible de suivre une quelconque trace qui monte au sommet. On avait pour objectif de prendre 2-3 photos sur les fumerolles en milieu de montée, mais que nenni, on est passé à coté sans même les voir avec ce vent et cette neige. Abandon de monté au sommet, plus on grimpe, pire c'est, déjà qu'on est bien perdu !
Je vous le donne dans le mille : On s'est perdu, on est descendu bien trop à gauche, et on sait battu à avancer dans 3 mètres de neige pendant 2 heures pour retrouver la voiture.
Conclusion : Le Mont Asahidake c'est bien, mais faut soit un guide, soit de la visibilité, sinon c'est vraiment la merde !
Et oui.... Jour 12 = dernier jour de ski.... C'est fini !
Demain nous retournons à Sapporo prendre notre avion pour Tokyo.
Tristesse.