Le Sri Lanka sans tuk-tuk, impossible. Ce fabuleux engin que l'on rencontre au travers de toute l'Asie, est bien "l'incontournable" du pays. Pétaradant, fumant , pas cher, une vrai bête de somme, le tuk-tuk des champs et des villes vous plongera dans l'économie locale, pour de l'authentique . Réparable à l'infini, personnalisable à l'inimiginable c'est le transport qu'il ne faut manqué à aucun prix.
Elles sillonnent les routes, les trottoirs. Porter indifféremment par les femmes, les hommes les enfants, c'est l'outil indispensable pour se protéger des rayons du soleil. et des pluies de mousson. Elégantes, raffinées, elles soulignent la silhouette et servent à l'occasion de signalétique, par rapport à la circulation débridée.
L'idée de départ était un voyage en groupe, un mode aujourd'hui révolu. Les temps " modernes" ont changé la donne. Donc Pascale et Eric, on est partit que tous les deux. On se connait à peine, mais les conditions sont claires : "chambre twin" (avec 2 lits ). Pour l'organisation nous sommes passé par l'agence : voyages Bouddha Spirit : tél + 33 (0) 1 42 18 22 25 // resa@bouddhaspirit.com l'adresse34 Av de l'Observatoire, 75014 PARIS. Notre contact, Angélique est très réceptive et efficace, merci Angélique. Nous n'avons rencontré aucun problème majeur. Sur place le réceptif s'est inquiété si tout se passait bien ! Que du Top. Climat chaud et humide, on trempe la chemise vite fais. Au mois de mai, pas de mousson sur la côte Est, mais dans le centre Hou là ! ça tombe dru.. Nourriture "piquante" mais on survit et pas chère, et avec Maalox tout rentre dans l'ordrx . Le conseille : louer une voiture avec chauffeur, c'est plus prudent, car nos habitudes de conduites nous laissent peu de chance de survire longtemps à leur pilotage rocambolesque, c'est du vécu.
Si dans un premier temps vous vous attendez à ce que le Sri Lanka, cette larme de l'Inde, ressemble à son voisin, vous vous apercevez rapidement qu'il n'en n'est rien. Plus calme, moins bruyant, pas encore envahit par les Mac-Do, visiblement moins sale et un savoir vivre entre religion. Les affres de la guerre civile (terminée depuis 6 ans) s'éloignent et les tamouls font partit du gouvernement. Le souvenir du tsunami de 2004, s'éloigne et les bonnes vieilles habitudes ont repris le dessus avec des constructions bord de plage sans protection. La pollution plastic est bien là, difficile à enrayée. Alors souhaitons leur bonne chance.
Au Hazard des routes, des gares, de notre curiosité, nous avons fait des rencontres, de belles rencontres. Ainsi Ayesha la vendeuse de maïs et de bétel, qui s'est bien amusé avec ces touristes blanc ou Shanti ce paysan tout joyeux avec son nouveau K-Way et aussi Ruwan avec des yeux aussi brillant que son tout nouveau compagnon : le lapin (Peter) Merci à vous. Merci aussi à tous ceux qui m'on suivit sur ce voyage. Prochain voyage Myanmar, Laos, Cambodge sac à dos bien sur. bye