Ni hao Taipei

Arrivée à Taipei, le soir, dans un décor brumeux. On s’est cru dans l’introduction de Blade runner... Fourbus et heureux de poser bagage dans cette ville foisonnante, bruyante, mais accueillante.

Les vols se sont bien déroulés, on a réussi notre correspondance serrée, on n’a pas perdu nos bagages, on a attrapé toutes nos navettes, on a trouvé notre logis, ce qui semble toujours un peu impossible avant le départ, quand on regarde toutes les étapes qu’il faut franchir, toutes les langues auxquelles on doit vite s’habituer. En trois jours, nous sommes passés du français, à l’anglais, puis au japonais et enfin au taïwanais.. 

On a commencé nos découvertes culinaires. Nos premiers dumplings ont été à la hauteur de nos aspirations. Et on s’amuse à décoder les idéogrammes sur les menus, pas souvent traduits. Bonjour les surprises ! D’ailleurs, Adèle a reçu de magnifiques huîtres charnues à la place du poulet souhaité. Vive l’adaptation en mode accéléré ! Et que dire des variétés de chips aux algues et des grignotines. aux amandes et petits poissons. 

Ah oui, y’a aussi le coronavirus. Ne vous inquiétez pas, nous sommes bien équipés, nous sommes prudents et on a tout de suite adopté le style masqué. dans les transports et les lieux publics. On a même donné des noms à nos masques pour les distinguer: Gérard, Jonas et M. Yao. A suivre dans une prochaine chronique..,