Hôtel Laekur – Leirubakki (52Km – 40min)
Leirubakki – Seljalandsfoss / Gljúfrabúi (72Km – 54min)
Seljalandsfoss / Gljúfrabúi - Eyjafjallajökull Erupt (20Km – 16min)
Eyjafjallajökull Erupt - Skogafoss (10Km – 11min)
Skogafoss – Parking Glacier Solheimajokull (12Km – 15min)
Parking Glacier Solheimajokull – Solheimasandur Plane Wreck (8.2Km – 10min)
Solheimasandur Plane Wreck - Dyrhólaey (17Km – 18min)
Dyrhólaey – Reynisfjara Beach (20Km – 24min)
Reynisfjara Beach – Hjörleifshöfði Cave (25Km – 27min)
Hjörleifshöfði Cave – Icelander Hôtel Vik (15Km – 16min)
Nuit au Icelandair Hôtel Vík
Lien Googlemap : Trajet 4 ème jour
Volcan Hekla : Pour des belles vues du volcan il faut aller au village de Leirubakki. Dominant à près de 1500 mètres dans le ciel clair de l’Islande, l’Hekla est l’un des volcans les plus actifs de la planète, ce qui en fait l’un des sites les plus impressionnants à visiter dans le pays. De nombreuses éruptions de l’Hekla depuis 1104 lui ont valu la description des auteurs médiévaux comme la « porte de l’enfer ». Ayant 6000-7000 ans dans ce 21e siècle, l’Hekla est encore très actif. Son paysage volcanique puissant en a fait le site de tournage pour le film de Ridley Scott, Prometheus.
Le volcan Hekla est situé près de la pointe sud de la zone du Rift est de l’Islande. Sa dorsale mesure 40 kilomètres de long, tandis que sa fissure appelée Heklugja fait environ 5,5 kilomètres de long. Pour les Islandais, le volcan est devenu une icône pour le pays. Sa puissance brute, son imprévisibilité et sa pure magnificence attirent des gens de partout pour l’admirer. En raison de ses éruptions tristement célèbres, l’Hekla est devenu une destination ultime pour les vrais aventuriers et amateurs de sensations fortes.
Malheureusement il y avait pas mal de brouillards et on n'a pas pu admirer les vues du volcan.
On peut apercevoir la cascade dès la
route 1 en arrivant de l'ouest, sur les pentes des premiers vrais reliefs
depuis Reykjavík. Le long du volcan, on aperçoit plusieurs autres chutes, Seljalandsfoss, elle fait partie des chutes
d'exception,
D'une hauteur de 65 mètres, elle fait la chuter
la rivière Seljalandsá qui se jette quelques kilomètres plus loin dans la mer.
Sa particularité, outre son cadre unique, c'est que le bond qu'elle fait depuis
sa falaise a permis la création d'un chemin de randonnée qui passe derrière sa
chute. Et sauf s'il y a du vent et donc des gouttes désagréables quand la
température est déjà fraîche, il est donc facile d'en faire le tour et
d'observer les environs verdoyants avec un peu de hauteur.
Vous pouvez continuer la visite en vous baladant dans la zone aux alentours pour découvrir les autres chutes d’eau, dont Gljúfrabúi. Contrairement à Seljalandsfoss, cette cascade est méconnue et vous pourrez vous y balader en toute tranquillité. Pour s’y rendre, il suffit de parcourir à pied les 600 mètres depuis Seljalandsfoss.
On voit alors au loin le haut de la cascade, mais le reste est entièrement caché par des rochers. Il faut suivre la petite rivière à travers un passage sinueux qui peut, lors des périodes de fortes eaux, être difficilement accessible. En rentrant à l’intérieur, il faut s’attendre à être arrosé par une eau glacée ! Il est aussi possible de prendre des photos depuis le haut de la cascade grâce à un petit chemin parfois bien glissant.
Ce volvan a connu, en 2010, une véritable heure de gloire à l’échelle mondiale. Car, sous cette calotte, dormait un volcan, l’Eyjafjöll. Celui-ci est entré en éruption au mois de mars 2010 et est resté actif pendant plus de 7 mois. En conséquence, des milliards de dollars de dommages et un espace aérien totalement paralysé dans le secteur pendant près d’une semaine.
Mais, outre cet épisode – aussi marquant que récent – de son histoire, une multitude de choses est à découvrir au sujet de l’Eyjafjallajökull. Car, d’un point de vue géologique comme d’un point de vue touristique, le glacier et son volcan – situés au flanc de la vallée de Þórsmörk – sont de véritables splendeurs de la nature. Ils constituent un point d’intérêt immanquable pour quiconque souhaite découvrir l’Islande dans toute son authenticité.
Belle vue du volcan au pied du visitor center.
Haute de 62m et large de 25m dans une région des plus touristiques d'Islande. Tombant majestueusement mais avec fracas d'une soixantaine de mètres, après des chutes successives depuis sa source au col de Fimmvörðuháls. La légende raconte qu'un trésor est caché derrière le rideau d'eau, mais la puissance dégagée par la chute a vite fait de faire renoncer toute personne s'approchant un peu trop de la chute. Beaucoup plus agréable à regarder pendant une matinée fraîche et ensoleillée qu'à l'arrivée dans l'après-midi des bus en provenance à Reykjavík.
Un petit chemin sur la droite de la cascade permet de monter au niveau de sa chute, petite grimpette sympathique que nous vous conseillons ! (compter plus ou moins 1h de marche avec les escaliers)
Grand parking sur le site, et en 15 minutes de marche assez facile sur un sentier vous serez quasiment au pied du glacier. Ce glacier blanc et noir est sympathique mérite vraiment le détour, à ne pas rater.
Compter 2h A/R à pied du parking pour y arriver. C'est en novembre 1973, en pleine guerre froide qu'un avion de la Marine américaine fut contraint d'atterrir à Sólheimasandur par manque de carburant. Le modèle, un Douglas DC3, a fini sa course sur cette plage sans faire de victime.
Finalement on a fait l'impasse de la marche vers l'avion.
L’Arche de Dyrholaey a été formé en partie dans une éruption sous-marine il y a environ 80 mille ans. Les brisants de l’atlantique ont ensuite rectifié le devant de la montagne de tuya, formant une falaise abrupte. Une saillie rocheuse s’étend au sud de l’île dans laquelle un trou ou porte a été érodé à partir de couches plus érosives du substrat rocheux. C’est la source du nom de l’île qui signifie « porte-colline-île ». Ce qui fait que ce lieu est si connu c’est son arche basaltique (en fait sa double arche).
Aujourd’hui, le cap de Dyrhólaey domine du haut de ses falaises de 120 mètres l’océan Atlantique au sud, la lagune de Dyrhólaós au nord et les plages de sable noir à l’ouest et à l’est (et plus précisément la plage Reynisfjara). Cependant, ce qui fait que ce lieu est si connu, c’est sans aucun doute son arche basaltique (en fait sa double arche).
Juste au-dessus, on trouve aussi un joli phare battu par les vents et les éléments. En 1927, il est remplacé par un édifice en pierres, toujours debout. Le phare, qui fonctionne toujours. Il a été automatisé, ce qui a permis de mettre un petit hôtel en-dessous.
Le lieu est aussi une véritable réserve naturelle pour les oiseaux (qui est d’ailleurs protégée en étant fermée de mai à juin pendant la période de nidification). On y trouve en effet des macareux, des fulmars, des sternes ou des mouettes.
Vous arriverez sur une immense plage de sable noir. Un imposant bout de falaise en « orgue basaltique » abrite une petite caverne. Et au-dessus, des centaines de macareux qui nichent !! On peut les voir de très près. Certains volent au-dessus de nos têtes. Avec le vent on a vraiment l’impression qu’ils galèrent.
Promontoire rocheux. Hjorleifshofdi, serait le résultat d’une éruption sous-marine intervenue il y a bien longtemps lors de la période glacière. Du haut de ses 221 mètres, il aurait surplombé l’océan avant que la lave du volcan Katla l’éloigne de plus en plus de l’eau. Aujourd’hui, plus de deux kilomètres séparent ce géant de l’écume de la mer.
Retour à Vik et nuit à l'hôtel Icelander Vik