SWAKOPMUND

Publiée le 25/11/2017
Après plusieurs jours en pleine nature, incursion à la ville et refaire les pleins pour mieux repartir.

Changement d'ambiance.

Les quelques kilomètres qui nous restent pour atteindre Swakopmund, nous plongent à nouveau sur de la piste en tôle ondulée, Au détour d'une bosse nous tombons nez à nez avec des Humba. On s’arrete devant leur étale de souvenirs et une fois la poussière retombée nous découvrons ce peuple. Ce sont certainement deux familles, elles nous sourient et on entame la négociation pour quelques babioles, ainsi la séance photos n’en sera que plus agréable. Tout le monde connait le sort de ces tribus nomades et comme partout il ne fait pas bon être différent. Alors ces gens sont sédentarisés et  la civilisation fait ses ravages. 

jeune femme Humba
la famille
le village
le poulailler

Les dunes

Faire du surf sur le sable ? Impensable et bien ça existe. Sensations assurées car ça défile plutôt vite. Bon c’est pas la neige qui vous rempli les chaussures de même que le vent ne vous gerce pas les lèvres. OK ça ne dure pas longtemps et il n’y a pas de tire fesse. Il reste l.exotisme d’un spot de glisse. Originale et dépaysant et pas cher. 

les dunes près de Swakopmund
Les dunes de glisse

les bijoux Namibien

En Namibie, on trouve du sable et des cailloux mais aussi des pierres précieuses. allons à leur découverte

breloque à 15000€
le monde merveilleux des pierres précieuses
reconstitution d'un fond de mine de diamants
huitre à bijoux

Kristall Galerie

Diamants, émeraudes,  améthystes,  le musée magasin Kristal Galerie réunis toutes les pierres précieuses que l’on peut trouver en Namibie. C’est un musée qui montre  comment son extrait toutes ces pierres qui sont travaillées est vendu sur place. Des merveilles !

A la recherche du diamand

Dans ce pays inutile de chercher des pierres précieuses, les sociétés Debmarine et DE Beers (Sud Africaine) on la main mise sur tous les filons. Zones militarisées par des gardes armés ne cherchez plus’ il n’y a rien à récolter. Et comme les exploitations du désert se tarissent c’est maintenant  en mer que ça se passe. Ces entrepriss se sont dotée de grands moyens techniques, politiques et commerciaux, un monopole. Elles raflent tout, ou presque l’état se partageant une faible part du diadème . En mer, avec  des moyens colossaux les excavatrices arrachent des  tonnes de pierres, qui sont lavé, triées automatiquement et mis en caisse, sous haute surveillance. Les ouvriers n’intervenant pas, interdit.  Le fabuleux filon est exploitable pour encore cinquante ans, au moins.

Pour info Extrait du journal LE MONDE

Les diamants sous-marins, le bon filon de la Namibie. Il y a une dizaine d’années, Windhoek et le groupe De Beers se sont associés pour extraire des pierres précieuses au fond de l’océan. Lentement, les flots s’écartent pour faire apparaître ce que l’équipage du Mafuta surnomme le « boucher ». Retenu par un énorme câble d’acier, ce monstre chenillé est hissé à la poupe du navire, qui croise le long des côtes de la Namibie  l’engin de 285 tonnes replonge pour poursuivre sa juteuse besogne : arracher des diamants du fond de l’océan.Alors que les mines exploitées depuis des décennies dans l’aride désert namibien commencent à se tarir, le groupe De Beers a misé son avenir sur l’extraction offshore. Leur récolte, unique au monde, a pris des allures de pêche miraculeuse. L’an dernier, la compagnie Debmarine Namibia, un partenariat à 50-50 entre De Beers et le gouvernement, a produit 1,2 million de carats, les deux tiers du total extrait du pays. A 100 mètres sous la quille, le « boucher » désosse patiemment les fonds marins à raison d’un kilomètre par heure. Un tuyau arrache les sédiments, qu’il aspire jusqu’au pont du navire, où ils sont hachés, lavés puis, pour l’essentiel, recrachés dans l’océan. Seul le suc diamantifère de cette mélasse, repéré par rayons X, est avalé dans les entrailles du bateau. Là, dans une partie de la cale mieux protégée que les coffres de Fort Knox, les gemmes sont nettoyés et scellés dans des boîtes de conserve. Tout est automatisé, à aucun moment une main humaine ne doit toucher les pierres.. « La faune est irrémédiablement détruite » Ce bail de longue durée inquiète toutefois les écologistes. « L’impact de ces activités est considérable pour l’environnement, notamment pour les sédiments des fonds sur une profondeur de 20 cm, la faune y est irrémédiablement détruite » Extrait du journal le MONDE.

20000 bijoux sous la terre
le phare de Swakopmund
le soleil se couche aussi, à la terrasse du B&b de Swakopmund.
la terre tourne et le soleil s'en va
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