Première journée à Buenos Aires

Publiée le 07/02/2019
Un séjour bien sympa à Buenos Aires avec quelques escapades

Certes Buenos Aires n’a pas, à l’image de beaucoup de capitales, de lieux, de monuments ou de quartiers véritablement emblématiques (sauf peut-être la Plaza de Mayo), mais la ville nous a vraiment séduits. 

Vivante, avec de larges avenues, de multiples parcs ou jardins étendus, des quartiers avec de fortes personnalités, c’est une ville où il fait bon vivre, ou on a envie de s’attarder et de flâner. 

On nous disait que 2 jours suffisaient : en fait on y serait bien restés un peu plus longtemps. 

On est arrivés tôt samedi matin après 12h de vol pour rejoindre notre hôtel en plein centre sur Corrientes près de l’obélisque avenue du 9 juillet, immensément large (140m !). 

Petite remise en état et balade dans le centre avec de chouettes immeubles du 19eme qui côtoient des immeubles plus récents dans un patchwork étonnant et parfois presque choquant. 

On rejoint la place de Mai avec l’espoir d’y rencontrer les grands-mères : elles n’y sont que le jeudi. La cathédrale sur la place est extérieurement moche ( palais Bourbon bis) mais chaleureuse à l’intérieur. 

On deambule dans le centre dans  de belles avenues arborées. 

La place de Mai (mais sans les grands-mères...)
Sur Florida et Diagonal Norte
Un patchwork d'architecture
Près de la Place de Mai
Le Cabildo, musée historique de la révolution de Mai et ancien batiment administratif
Le café Tortoni, le plus célèvre des cafés portenos

Qu’est ce qu’elle a ma gueule ?

Il faut le dire : depuis près de 50 ans il existe une incompatibilité d’humeur irréversible entre tout individu portant un uniforme à un poste frontière et moi. Et là j’ai eu droit à la totale en partant de Marseille : à cause d'une grève du personnel d’embarquement d’Iberia, on ns fait donc rentrer en zone d’embarquement avec nos bagages de soute et, of course, contrôle du contenu. Ils en ont pris un surtout pas au hasard (ça fait donc 50 ans que ça dure...) et les voilà qui vident intégralement les 23 kg de ma valoche, ouvrent ttes les sacoches devant ts les gens effarés, vident tout consciencieusement, pas un mot d’excuse et débrouille-toi pour tout remballer. Et puis en plus ils me piquent in fine le beau canif de Ben mais ils me jurent n’avoir rien pris. Bon on est à Marseille faut garder une si belle réputation ...


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