Sous les lampions de Hoi An

Publiée le 16/04/2019

16h00 de train couchette et nous voici au milieu d'une foule dense illuminée par des lampions polychromes dansant sous la brise: c'est Hoi An, cité millénaire, embellie au 17ème siècle par des marchands japonais et chinois qui y installèrent leurs belles demeures en bois.

Poulet aux fruits de la passion

L'heure du bain.

L'entrée dans Hoi An, classée au Patrimoine mondial de L'UNESCO.

Le marché du soir.

Ambiance marina.

La promenade sur les quais est agréable même s'il y a un petit peu de monde.

La farandole des pousse-pousse.

Au bord de l'eau.

C'est une maison jaune.

Spider-cochon.

Drôle de jouet.

Les premiers lampions.

D'autres lampions.

Lampions voguant.

Magasin de lampions.

Ananas-mango shake au Thien river.

Wonton.

Ce sont des galettes craquantes fourrées au porc et à la crevette.

À la baguette.

Brochette de nems.

Plateau de roses blanches.

À l'intérieur de ces raviolis à base de riz, on trouve de la crevette et du porc.

Sympathique déjeuner.

Miroir d'eau.

Trio chapeauté au marché du matin.

Touchez pas au grisbi.

Après l'avoir inspectée deux fois, la marchande glisse dans sa poche une grosse liasse de billets.

N'entrez pas, c'est une boucherie.

Marché de cocos.

C'est marqué dessus.

Universel tonton Georges.

Splendeur et décadence.

La cage aux oiseaux.

Lampions en fleur.

Un coin de bonheur.

Chaque médaillon présente une face Yin (noire, évoquant la nuit et la féminité) et une face yang (blanche: le jour, la masculinité). On lance deux médaillons et l'on a un vœu exaucé si on obtient un yin et un yang.

Balancier.

Feu dangereux.

Sur ce passage, deux jeunes lèvent des drapeaux lorsque des piétons passent, ce qui ne dissuade pas les véhicules d'accélérer.

Le pont japonais.

C'est l'un des monument star de la cité. Il n'a jamais été détruit, peut-être grâce aux bons génies qui l'habitent.

Une demeure de marchands.

A quai.

Une autre maison de commerce.

Qui l'eut crue.

A chaque saison des pluies, la rivière enfle jusqu'à atteindre les habitations, toujours construites avec un étage pour pour pouvoir mettre les meubles à l'abri. Les marques indiquent les crues exceptionnelles.

L'intérieur chinois de la maison

Fine lanterne.

Sous les géraniums.

Cao Lao.

Une spécialité de Hoi An avec des nouilles, du porc et de la salade.

Un après-midi sur la plage.

Coquille de noix.

Les pêcheurs utilisent traditionnellement cette drôle d'embarquation ronde.

Calamar farci.

Travailler pour des cacahuètes.

C'est la première fois que nous voyons un champs d'arachides.

Le dragon dort.

Épuisettes géantes.

La vendeuse fait son miel.

Le temple Phuc Kiên.

Il fut construit au 18ème siècle par une congrégation de marchands chinois.

L'entrée dans le sanctuaire.

Le Grand Schtroumpf sous amphetamines.

Torticolis.

Le calme des rues.

Honnêtement, il a fallu attendre le passage de plein de petits groupes pour prendre cette photo.

Le temple Qiang Dong.

Datant lui du 19ème siècle, il a été fondé par des Cantonnais.

Les colonnes de l'atrium.

Rrrrrrrr!

De retour à la plage.

Les rizières vertes.

L'effet papillon.

La bonne paille.

Traversée à haut risque.

À peine avons-nous posé les roues de nos vélos sur la passerelle que celle-ci s'est mise à tanguer dangereusement. Un Vietnamien nous court de plus après pour nous réclamer des Dongs. Nous passons par le pont de béton, plus sûr et gratuit.