Nous nous sommes levés à 6h pour ne pas rater le bus qui devait nous emmener à Tam Coc, et qui est finalement parti avec 1h30 de retard ! Le trajet devait durer 2h. Nous en avons mis 4.
Nous sommes finalement arrivés dans une super petite guest house très familiale, un peu épuisés. On s'y est tout de suite sentis bien et y avons passé du temps et un apéro très sympa avec deux jeunes français.
Deuxième journée : on enfourche des vélos pour parcourir les rizières et la campagne environnante. Il fait chaud mais les paysages sont sublimes.
Le lendemain, réveil très tôt pour faire la célèbre balade en barque au milieu des piques karstiques. C'était magnifique mais il y avait trop de monde...( vacances vietnamiennes).Nous avions vu la veille le film Indochine avec les filles et nous avons bien aimé retrouver les lieux du tournage.
Difficile de manquer la Baie d'Halong...Et pourtant, ce lieu mythique n'est plus vraiment paradisiaque : hordes de touristes, bouteilles plastiques et détritus dans l'eau...à tel point que l'UNESCO menace de la retirer des sites classés...Nous avons donc décidé de payer un peu plus cher pour partir sur un petit bateau ( 5 cabines) vers la Baie Tu Long, baie collée à la baie d'Halong, avec les mêmes paysages mais les centaines de touristes en moins. Après une journée passée à trouver le bon bateau, nous sommes partis tôt. 4h de route plus tard , nous avons embarqué avec deux couples de français très sympas et un couple d'Australiens qui nous a bien fait rire ( On a pensé à toi, Eleonore !). Les filles étaient super excitées de partir en croisière. Une brume bleutée enveloppait les roches qui se dressaient hors de l'eau. C'était quand même magique.
Anouk raconte en images son aventure :
Nous quittons le Vietnam pour la Birmanie via Bangkok où nous allons passer une journée. Après réflexion, nous n'irons pas au Laos. Trop de car pour seulement 2 semaines. La Birmanie semblant être un pays fatiguant, nous préférons y prendre notre temps et arriver avant la mousson. Tout va toujours bien pour l'instant. On se supporte encore !