Nous sommes arrivés à Roissy avec une belle avance, mais les comptoirs de dépose bagages d'Icelandair n'ont ouvert que très tard... Départ cette fois-ci du Terminal circulaire 1, dont on a vite fait le tour ! Le vol s'est bien déroulé, nous disposions d'écrans individuels, mais pour avoir le son, il fallait disposer de ses propres écouteurs ou en acheter à bord. Inutile pour 3 h 30 de vol.
Lorsque l'avion descend, nous sommes surpris par le paysage qui se dévoile sous nos yeux : une terre aride, avec seulement quelques touches de vert.
Surprise pour sortir de l'aéroport : pas de contrôle frontière. Nous avons ainsi appris que, si l'Islande a finalement renoncé à intégrer l'UE, elle fait partie de l'espace Schengen. Pas de la zone Euro cependant, alors nous retirons 20 000 couronnes islandaises pour faire face aux premières dépenses.
Notre hôtel nous a conseillé d'utiliser Grayline pour rejoindre la capitale (l'aéroport de Keflavik en est à 50 km), mais ils n'ont pas de bureau. Seule, une jeune fille en gilet orange fait office d'accueil et elle nous informe que toutes les places sont réservées jusqu'au bus de 20 h. Il n'est que 17 h..., nous nous rabattons sur la compagnie concurrente, Flybus, plus chère.
Pendant l'heure de transfert, nous pouvons constater que le sol n'est pas aussi plat, ni aride, il y a quelques îlots de verdure et beaucoup de roches de toutes formes, manifestement des restes d'éruptions volcaniques.
Le bus doit nous déposer devant notre hôtel, mais il s'arrête 200 m avant, au pied d'une belle pente ! Dur, dur quand on est bien chargé !
L'hôtel est envahi d'Américains et de Canadiens, car nous sommes presque à mi-chemin (5 h 30 pour atteindre le continent américain depuis l'Islande). L'enregistrement prend du temps, car plusieurs personnes ont des exigences de chambre, qui obligent l'employé à de nombreuses manipulations. Nous sommes assez loin du centre-ville et décidons de rester sur place pour dîner d'un excellent buffet.
Madanic
Bravo pour les solutions trouvées à chaque "surprise"...