Depuis notre arrivée au Pérou, nous faisons un peu les papys... Couchés tôt, et levés tôt... Donc le départ de l'hôtel à 6h du matin... c'est une franche rigolade !
Un van vient nous récupérer à l'hôtel, nous sommes les derniers d'un petit groupe de 11 personnes. Nous avons la chance de participer à cette aventure avec 4 autres français, 3 québécoises ainsi qu'un couple d'anglais. Nous serons accompagnés de 3 guides pour ces 4 jours. Nous profitons d'un premier petit déjeuner commun pour faire connaissance entre nous. C'est écrit : nous allons bien nous marrer !
Au niveau du matériel utilisé, la plupart des informations trouvées sont aussi listées sur la fiche préparation du sac à dos pour le mois passé au Pérou.
Nous avons pas mal de route jusqu'à la première épreuve, pas loin de 4h, dont un col à plus de 4300m. Depuis Cusco, notre point de départ, nous voyons déjà le décor se modifier au fil des kilomètres, malgré notre état de sieste avancé. Nous profitons des pauses pour discuter plus amplement avec ceux qui partageront nos 4 prochains jours.
Nous arrivons au point culminent de notre trail : 4300m d'altitude, après 4 heures slalomant au travers de routes de montagne qui feraient passer le col du Galibier pour le périph' lyonnais un dimanche matin à 5h du mat'. Des précipices à blanchir et des panoramas saisissants.
L'altitude se fait assez bien sentir, quand même, pour nous qui ne sommes pas vraiment de grands sportifs... rien que se changer pour enfiler les tenues adaptées à notre futur descente suffit à nous essouffler...
Nous descendons à bonne allure. Cependant, les précipices sont très impressionnants, et il faut de même faire attention aux voitures qui doublent et qui arrivent à contre-sens... Ce n'est pas une course, nous profitons du paysage et des sensations.
Au fil des kilomètres, le paysage change presque à vue d'oeil. Nous passons de décors secs et (très) frais des sommets, aux tableaux tropicaux : des bananiers sont assez rapidement présents et il faut désormais traverser des écoulements d'eaux qui coupent la route.
Après 2h30 et 55km de vélo, nous avons descendu 3000m de dénivelé ! Du pur bonheur, même pour les non cyclistes comme nous. Il a fallut enlever des couches de vêtements par 2 fois, car la température était vite très chaude au fur et à mesure que nous perdions de l'altitude.
Nous sommes arrivés à notre premier check-point. Cette première journée est forte en sensation, mais n'est pas très fatigante. En revanche, la chaleur cogne et nous en profitons pour faire une petite sieste en attendant que la fraîcheur de la soirée arrive.
Depuis notre arrivée au village, un curieux mais puissant et omniprésent bruit de fond résonne de partout. Un fort sifflement se fait entendre dans toute la vallée. Nous nous interrogeons. Nous pensons qu'il s'agit d'une centrale électrique placée dans le lit de la rivière juste en dessus. Il n'en est rien, Alex, un de nos guides, nous indique qu'il s'agit de cigales !
Leur bruit n'a rien à voir avec celui que nous connaissons dans le sud de la France... Il s'agit ici d'un sifflement très puissant, à en faire mal aux tympans. Associées, ces millions de cigales produisent un sifflement que l'on pourrait comparer au bruit de freinage d'un train, où du bourdonnement aigu de bobines de centrales électriques.
Alex nous apprend que nous sommes dans la période où les cigales ne cesseront pas de chanter, et ce pour les 3 semaines à venir. Jour et nuit. Notre nuit à Santa Maria s'annonçait donc très bruyante... d'autant plus qu'un spécimen s'était niché juste derrière notre porte, chantant à ailes déployées.
Nous nous levons une nouvelle fois tôt ce matin, mais nous avons cette fois ci de nombreux kilomètres de marche de prévus ! Environ 23, selon nos guides.
Au long de notre ascension, nous nous arrêtons faire des provisions d'eau et de snack chez des familles locales. La chaleur associée aux 90% d'humidité est difficile à supporter quand on randonne. Nous en profitons pour aussi découvrir des coutumes et éléments de vie d'ici, en pleine haute jungle.
Notez que nous nous trouvons en haute jungle alors que nous sommes à... 1500m d'altitude !
Nous nous prenons au jeu de la torréfaction de notre propre café à partir de graines fraiches, qui sont alors blanches, à l'origine. Mais aussi aux peintures que les incas avaient pour habitudes d'utiliser pour se maquiller : pigments colorés 100% naturels !
Le fruit utilisé pour peindre la peau est aussi utilisé par les laboratoires cosmétiques dans les crèmes solaires. La matière grasse qui se trouve dans les graines est très efficace contre les coups de soleil. Certains du groupes s'étaient amusés à se dessiner des motifs sur les bras : les voilà bien avancés, en fin d'après midi, quand ils découvrirent leurs tatouages de bronzage !
Nous poursuivons notre route au travers de la jungle ou nous croisons une multitude de fruits à portée de bras : des avocats délicieux (de parfois plus d'un kilo !) par centaines, des bananes, ananas, goyaves... Nous récolterons d'ailleurs un ananas pour le dessert de midi !
Nous empruntons désormais un passage authentique du chemin de l'Inca. Celui même utilisé par le peuple Inca il y a plusieurs siècles.
Il s'agit pour la grande partie du chemin d'une corniche soigneusement taillée et consolidée, à flan de falaise. Des centaines de marches de pierre, dont on imagine la sueur qu'il a fallut pour les agencer de la sorte, nous aident à parcourir chaque mètre savoureux de ce chemin de l'Inca.
Les précipices sont souvent vertigineux, les jambes de Ronron sont parfois tremblantes au tournant de certains angles : chaque faux pas pourrait être le dernier, plusieurs centaines de mètres à pic se trouvent à 20cm de nos semelles.
Ce chemin était destiné à transmettre des informations à l'aide d'athlètes messagers. Des boucliers d'or ou d'argent étaient aussi utilisés pour communiquer par signaux de lumières, comme nous pourrions tenter de le faire avec des miroirs.
Après un bon repas (du poulet, pour changer) au coeur de la jungle, associé à une sieste opportune dans des hamacs au dessus de poules curieuses (et bruyantes), nous poursuivons notre marche.
Nous ne sommes plus au milieu des périlleuses marches du chemin de l'Inca. A nouveau, nous sommes dans un paysage humide et presque tropicale. Il n'est pas rare de devoir enjamber des ruisseaux boueux, baisser la tête pour passer sous des troncs, tout en applaudissant chaudement les nombreux moustiques qui veulent venir gouter notre nectar sanguin.
Après la jungle, nous longeons une rivière capricieuse pendant quelques temps. Nous sommes en période sèche et nous pouvons par conséquent marcher le long du courant. Les moustiques sont bien évidemment encore présents.
Il y a quelques années, une très grosse crue lors de la saison des pluies avait ravagé le village de Santa Teresa, situé un peu plus bas dans la vallée. Sur notre chemin, nous croisons encore des vestiges de l'ancienne voie ferrée qui passait le long de cette rivière, désormais impraticable.
Les fermiers de la région ne peuvent plus utiliser le train pour transporter leurs marchandises jusqu'aux points de vente... Il leur fallait impérativement pouvoir traverser la rivière.
Fut construit, pour traverser le courant, une nacelle suspendue par des câbles et actionnée par la force des bras d'un coté où de l'autre de la berge. Nous l'utiliserons pour traverser la rivière. Expérience ludique pour nous, mais qui ne doit vraiment pas être de tout repos lorsque de grosses quantités de marchandises doivent être déplacées.
Au bout de la marche au bord de cette rivière, nous arrivons aux sources. Nous y arrivons... ou presque ! Un éboulement de terre nous empêcher de passer, alors que nous visualisons juste en contrebas les fameux bains d'eaux naturellement chaudes... T'imagines la frustration !
Après un détour d'une quinzaine de minutes, nous pouvons enfin nous relaxer en barbotant dans une eau à plus de 35°C, après presque 8h de marche dans des environnements inconnus pour nous. Le pied !
Nous regrettons cependant que ce lieu fut un peu plus fréquenté qu'imaginé. Des stands de snacks et quelques aménagements de transats fleurissent autour des bains, ce qui fait perdre un peu au lieu de son authenticité que nous convoitons.
Nous arrivons à Santa Teresa ravis par notre journée. Après le repas, il nous est offert par Wilbert une tournée de l'alcool local : le Pisco. Aie, l'engrenage... Un verre, puis deux, puis le litre de bière à 15 soles... il n'en fallait pas plus pour lancer une soirée dans les rues de Santa Teresa dont nous nous souviendrons !
Nous nous sommes retrouvés, tout le petit groupe ainsi que nos accompagnateurs, à nous déhancher sur la (petite) piste de danse du modeste établissement nocturne de la ville de Santa Teresa... Tout en oubliant que le lendemain serait aussi copieux que la journée que nous venions de passer.
Au programme de ce matin, 4 tyroliennes pour changer de flans de montagnes en survolant les forets. De l'adrénaline en barre. La plus longue des tyroliennes mesure 1,5km de long, j'sais pas si t'imagines... Et l'une d'elle passe au dessus d'un précipice de 400m... plus haut que la tour Eiffel, J'SAIS PAS SI T'IMAGINES ?!
Nous avion tout de même le choix. Ces 4 tyroliennes, ou 3h de marches supplémentaires... V'là la gueule du choix ! Nous avons donc opté pour les tyroliennes.
Coeur battant à 100 à l'heure, nous nous élançons dans le vide pour des pointe à plus de 90km/h pendant de longues dizaines de secondes ! Effrayant, mais tellement savoureux !
Il existe un chemin de fer qui longe la rivière, à l'intérieur du parc archéologique du Machu Picchu. Il est utilisé pour les pressés venant directement de Cusco ou d'une autre gare de la vallée sacrée. Nous nous faisons déposer à l'entrée du parc (à la nouvelle centrale hydroélectrique) par un mini-van où nous pouvons débuter notre marche. Nous longeons ces rails durant plusieurs heures, au coeur de la jungle, jusqu'à Agua Calientes.
Nous avons vu plusieurs fois passer le train à coté de nous. Il est facile à voir venir, il klaxonne sans modération tout au long de son trajet.
A plusieurs reprise, durant la marche, nous avons pu apercevoir, de loin, le site et les montagnes entourant le Machu Picchu. Cela n'a fait qu'attiser encore plus notre curiosité et notre envie de visiter ce site sacré.
A l'approche du train, il est possible de placer une pièce de un Soles directement sur le rail. Une fois le train passé, il ne te reste plus qu'à récupérer ta pièce désormais plate mais toujours lisible (probablement refusée dans les commerces par contre) : unique !
Nous avons passé notre dernier repas tous ensemble dans ce petit village d'Aguas Calientes, qui se trouve au pied de la montagne du Machu Picchu, là où tous les trekeurs passent avant l'ascension finale.
Ce dernier repas, c'est aussi l'occasion de dire aurevoir et merci à Alex, un de nos guides qui doit rentrer sur Cusco plus tôt, qui devint un véritable pote au fil des jours.
Demain, nous nous levons tôt, à 4h, pour grimper jusqu'au Machu Picchu. Alors... au dodo !
Il est très tôt quand nous chaussons nos souliers. 4h30 pétantes, frontale sur la tête, nous partons en quête de la cité perdue des Incas.
Le Machu Picchu est sans conteste le site pré-colombien le plus spectaculaire de toute l'Amérique du sud. On ne sait pourtant pas grand chose à son propos.
Découverte en juillet 1911 par un archéologue américain, cette cité était entièrement envahie par la végétation luxuriante. A l'époque, Hiram Bingham, était en quête de la citée perdue. Un jour, en passant demander un toit pour la nuit chez des fermiers, il aperçut des coupes des anciennes et demanda d'où elles venaient. Le fermier lui indiqua alors le chemin jusqu'à la cité, qu'il ignorait être la fameuse citée perdue des Incas.
Cette cité reste très mystérieuse et fait partie des 7 merveilles du monde du fait de son accès difficile.
A leur arrivée en terre sud américaine, les espagnols pillaient tout, dévorés par leur soif d'Eldorado. Le Machu Picchu fut la seule ville restée secrète, et ne fut jamais découverte par les conquistadors : son état de conservation est remarquable malgré les siècles.
On pense que le Machu Picchu n'a jamais été terminée par ses bâtisseurs. On ne sait pas vraiment pourquoi ceux ci se sont enfuis.
On ne sait même pas le nom réel de cette cité. Par défaut, la cité s'appelle Machu Picchu, c'est le nom de la montagne sur laquelle est adossée la cité, mais probablement pas le nom de la ville en elle même, à l'époque.
Pour monter du récent village d'Agua Calientes jusqu'à la cité du Machu Picchu, il y a environ 500m de dénivelé, pour pas moins de 1800 (hautes) marches de pierre. La distance est de 1,7km à partir du pied de la montagne. Le temps estimé pour arriver là haut pour le lever du soleil est d'approximativement d'une heure et quinze minute, mais les bons marcheurs iront plus vite... pas nous.
Les marches sont très difficiles à monter, d'autant plus que mine de rien... nous sommes aux alentours de 2000m d'altitude au départ ! Il ne fait pas forcément chaud, mais l'humidité est bien présente... Nous sommes très vite en sueur.
La lueur de l'aube s'intensifie et nous pouvons quitter nos frontales. Nous contemplons tout autour de nous des monts embrumés, recouverts d'une intense végétation... mais sinon, que des marches, et encore des marches.
Nous arrivons enfin, après plus d'une heure de marche difficile, sur le site du Machu Picchu. Tout est intégralement recouvert de brume. Nous n'y voyons rien et ne distinguons que très peu de bâtisse... Nous espérons de tout notre coeur que les rayons du soleil viendront percer ces épais nuages qui nous empêchent de profiter de cette mystérieuse citée.
Nous profitons de ces instants nuageux pour en apprendre plus sur ces lieux, grâce aux explications passionnées de Wilbert, notre guide. Ainsi, nous passons de bâtisse en bâtisse, de lieu sacré en lieu sacré, et admirons le génie des bâtisseurs incas.
Des terrasses à l'architecture parfaite sont perceptibles pour consolider et/ou cultiver. Tous les bâtiments ont résisté aux forts séismes qui ont frappé la région lors de ces derniers siècles, ce qui en fait une composante fascinante supplémentaire. Des temples dédiés au soleil ou constructions aux dimensions mathématiques parfaites ponctues la ville, habitée autrefois par 400 personnes selon les locaux (mais 1500 selon le routard...).
2 heures après notre arrivée, les nuages font enfin place au soleil et ses rayons peuvent illuminer la cité perdue des Incas, pour notre plus grand plaisir. Voici une sélection de nos plus belles photos.
Les lamas du Machu Picchu sont en fait... des alpagas ! L'erreur est courante. Ceux-ci ont pour la plupart été importés de l'altiplano bolivien, à 4000m et plus. L'altitude du Machu Picchu étant de 2500m, l'herbe y est plus tendre, les alpagas ne s'y sont jamais habitués (ils avaient pour habitude de manger des plantes dures et épineuses) : ils sont désormais omnivores ! Attention à vos bananes, Yoyo en a fait l'expérience.
Au départ, nous souhaitions grimper 1h30 de plus jusqu'au sommet de la montagne qui se nomme Machu Picchu, pour avoir une vue imprenable sur les vallées. Malheureusement, une grosse pluie s'est mise à tomber : nous abonnons l'idée, puisque nous ne voyons plus très loin, la brume refaisant son apparition après 2 heures d'ensoleillement.
Nous décidons de descendre sous la pluie, en empruntant de nouveau les centaines de marches brutes. Les genoux prennent des chocs et les cuisses se font très dures. La pluie n'arrange rien et elle est très inconfortable... 1h30 plus tard, nous arrivons trempés jusqu'à la moelle à notre hôtel d'Agua Calientes où nous n'avons... pas de vêtements secs. Nous prenons donc le train jusqu'à Ollantaytambo, lieu où nous faisons un stop d'une nuit, en pyjama, maillot de bain et claquettes.
A la sortie, après ta visite, il est possible de faire tamponner ton passeport par un officier de police. Le tampon utilisé indique que vous avait visité une des 7 merveilles du monde, ce serait dommage de t'en passer, hein ? C'est gratuit et rapide !
Le train qui mène jusqu'au pied du Machu Picchu est détenu par 3 sociétés privées... ces sociétés ne se gênent pas pour gonfler les prix des places ! C'en est exorbitant !
Nous avons notre place pour rentrer dans la vallée, pour seulement 1h45 de train, et nous nous en sortons pour la modique somme de ... 70$ par personne ! Imagine les prix pour un aller-retour depuis Cusco pour une famille... tout simplement inabordable. Quel dommage !
Quel dommage X2 ! Quand on sait en plus que l'entrée sur le site du Machu Picchu vous sera autorisée contre environ 50$ par personne... L'entrée au site étant limitée à 2500 personnes par jour, les prix gonflent chaque année.
Si ces 4 jours te donnent envie et que tu es toi aussi tenté par l'expérience, tu peux aller consulter leur page web : http://lorenzoexpeditions.com
Ils ont aussi une agence sur Cusco si besoin !
Encore une fois, si tu as la flemme de tout lire, voici une petite (environ 9 minutes tout de même) vidéo qui récapitule ces 4 derniers jours
Bonjour, meme 3 ans après, votre blog nous est très utile pour constituer à notre tour notre périple au Pérou. Je me suis beaucoup inspiré de votre itinéraire et de vos commentaires.
Nous sommes très tentés par le Jungle Inca Trail. Votre récit nous donne envie !!
Par contre, le tarif affiché est maintenant de 269 dollars... certe l'inflation est passée par là mais quand même...
Alors j'hésite à réserver à l'avance... nous serons à cusco autour du 5 aout... en pleine période estivale en europe... et j'imagine qu'il y aura du monde... je suis partagé entre payer le prix fort et être sur d'avoir mon trail ou attendre d'arriver sur place et négocier... mais s'il n'y a plus de place...
Merci pour cet énième conseil !!!
Merci pour le commentaire ! 3 ans déjà... eh ben ! Quels souvenirs ça nous fait remonter ;-) ! Nous avons des amis qui ont fait cet inca jungle trail avec la meme agence que nous l'an passé, et avec qui ça s'est très bien passé aussi.
Quand vous dites prix de 269$, il s'agit des 4 jours, billet pour machu picchu inclus ? Ou seulement du train ?
Merci de votre rapide réponse. Oui 269 dollars, c'est comprenant les 4 jours dont le transfert vers le VTT, le petit dej, l'activité descente VTT, le déjeuner et diner... Le J2 l'encadrement et le trek, les 3 repas du jour et de même pour le J3. L'entrée aux thermes de santa theresa est comprise aussi, ainsi que l'entrée au machu picchu.
Ne sont pas compris le rafting (100 soles), la zipline (100 soles) et le repas du J4 au machu picchu, la descente vers cusco non plus.
bonjour ronron et yoyo, avec mon copain on prépare notre voyage d'un mois au Pérou et Bolivie en septembre et votre blog est une belle source d'information, nous avons réservé notre trek avec Lorenzo déjà. une question que je me pose, j'ai vu que pour le retour en train on a le droit qu'à 5 kg de bagages. pendant le trek vous aviez vos gros sacs de randonnées ? ou vous les aviez déposé à cusco et pris que l'essentiel pour les 4 jours dans votre petit sac ? merci d'avance
Bonjour youkinouille !
Nous n'avions en effet qu'un petit sac à dos avec du change et la trousse de toilette pour les 4 jours. Le gros sac avec toute les affaires étaient resté à l'auberge à Cusco. Ils ont l'habitude de garder les sacs, nous n'avons jamais eu de probleme à ce sujet sur tout notre voyage, et n'avons déploré aucun vol.
De plus, je vous déconseille de prendre votre gros sac pour les 4 jours d'inca jungle trail, vous en baveriez sur les différentes randos.