Métropole grouillante de plus de 7 millions d'habitants, Hong Kong fascine et attire tel un aimant les expatriés et voyageurs du monde entier. Le "port aux parfums" est un croisement réjouissant d'Orient et d'Occident. Ancienne colonie britannique, la cité est aussi un centre financier mondial, en tête des villes les plus chères au monde.
Il aurait été dommage de ne pas s'y arrêter, ne fut-ce que pour une courte escale. C'est donc ce que nous avons fait. Notons que la ville ne nous était pas totalement inconnue étant donné que Blaise s'y était déjà rendu lors de son voyage en Chine en 2011 !
Malheureusement, la météo maussade (pluvieuse et venteuse) s'est abattue sur nous et c'est au pas de course et avec nos K-ways que nous avons arpenté le territoire tant bien que mal.
Tour à tour éblouissante et étouffante, à la fois opulente et précaire (selon un article du Courrier International de fin 2018, plus de 1,37 million de personnes y vivent sous le seuil de pauvreté), Hong-Kong fait partie de ces villes qui ne laissent pas indifférent.
Le dynamisme de la métropole est palpable à chaque coin de rue, avec ces travailleurs qui se pressent dans tous les sens et s’engouffrent comme des fourmis dans les bouches des stations de métro... Il en ressort une excitation certaine mais aussi un stress permanent qui nous a plutôt mis mal à l'aise. C'est sans aucun doute le moment de notre voyage où nous nous sommes sentis le plus "en décalage" par rapport à la société qui nous entourait. "Time is money" à Hong-Kong et si vous sortez de ce cadre, passez votre chemin...
Ceci conclut notre article en demi-teintes sur une cité qui recèle pourtant de trésors (notamment, ses fameuses îles vertes) mais que le manque de temps et de soleil nous ont empêché d'approfondir. Serait-ce là une raison pour y retourner un jour ? ?