Grand moment d’excitation lundi matin : Aurore, Mary et moi avons rendez-vous devant nos téléphones et ordinateurs, afin de procéder à notre enregistrement en ligne et tenter d’obtenir trois sièges ensemble. Mon ordi rame, il faut stopper les conversations téléphoniques pour récupérer de la puissance ! Enfin, nous parvenons à réserver trois bonnes places dans la même rangée. Il faut maintenant procéder à l’impression de la carte d’embarquement et, oh surpise, également à celle de l’étiquette bagages. Il faudra ensuite récupérer à l’aéroport un porte étiquette destiné à être accroché à la poignée. Qu’est-ce qu’on va bien pouvoir nous demander de plus maintenant pour prendre l’avion ?
Arrivée la veille, je vais en reconnaissance et m’imprime une véritable étiquette traditionnelle, je n’ai pas vu les porte-étiquette… Le jour J, j’arrive dans le terminal avec 2 h 30 d’avance et vais gentiment poser mon bagage sur le tapis. Il faut scanner sa carte d’embarquement et son étiquette bagage et vogue la galère ! Quand te reverrais-je gentil sac-à-dos ? L’écran m’ayant invitée à me rendre en zone K30, je me dirige vers les zones d’embarquement, qui sont précédées des fouilles de sécurité. La jeune femme, qui s’amuse à modifier le labyrinthe d’accès aux différents tapis, est vêtue d’une cape de Super Woman très élégante ! Je suis bien heureuse d’avoir laissé à la maison montre et collier, car la femme qui me précède doit enlever tous les bracelets et bijoux qu’elle porte sur elle (pour éviter d’alourdir la valise, me dit-elle). J’ai vidé ma bouteille et mis dans un sachet plastique mon gel aseptisant, tout passe sans encombre. Reste à passer la frontière, je ne suis pas sur la bonne file, il y en a une spéciale passeports français, sans file d’attente. Cela ne sert pas à grand chose, on se retrouve devant les mêmes guérites ! Avisant les cabines du système Parafe, où il n’y a personne, je demande à y accéder. Peine perdue, l’écran de reconnaissance digitale ne reconnait aucune de mes empreintes !!! Je pose le doigt trop vite, ou pas assez, ou je ne le laisse pas assez longtemps… bref, il faut que je reprenne le chemin normal.
Une demi-heure d’attente avant de voir apparaître Aurore et Mary, qui ont embarqué à Nice à 7 h ce matin. On va encore attendre, l’avion a une demi-heure de retard.
Le vol s'est bien déroulé, l'avion a atterri à l'heure prévue et nous sommes arrivées à l'hôtel vers 18 h, soit 3h du matin en France. Un petit tour sur la Plaza de Armas toute proche, achat de quelques victuailles pour le dîner et au lit à 21 h.
Difficile de trouver du wifi suffisamment puissant pour consulter et publier sur Internet...
Notre hôtel