Deux jours avant mon départ pour les États-Unis, le 16 mars dernier, Montréal avait été frappé par une importante tempête de neige. De loin la plus importante de l'hiver, voire même de la décennie selon certains. J'avais donc quitté la ville parée d'un épais manteau blanc, avec des températures ressenties dépassant les -25°C, pour les cocotiers de la Floride et ses +25°C.
À mon retour, on m'en avait tellement parlé que je savais que j'allais retrouver une ville transformée, verte, pleine de vie, de couleurs, une ville où les terrasses et les festivals auront pris possession des rues. Et c'est ce que j'ai effectivement pu constater. Dès mon retour dans les rues montréalaises, j'ai compris pourquoi les gens aiment tant cette ville l'été. L'atmosphère y est si agréable, on constate que les gens ont réellement repris possession de leur ville, des pistes cyclables, des parcs. Il est aussi fascinant de voir à quel point la nature a également repris ses droits, à quel point la ville a reverdit, en l'espace de trois mois.
J'ai profité de la venue de ma cousine pour lui faire visiter la ville et, par la même occasion, redécouvrir un certain nombre de lieux que j'avais parcouru quelques mois plus tôt. Voici, en vrac, quelques photos de Montréal sous son meilleur jour.
Montréal l'été, c'est également une nouvelle édition du Mural Festival. Et ce n'est pas pour me déplaire !
Bon, sinon, les policiers et ambulanciers de Montréal sont toujours en grève visiblement !
Après avoir de nouveau passé près de deux semaines à Montréal, il ne fait aucun doute que c'est une ville dans laquelle je me sens super bien, dans laquelle il fait très bon vivre, notamment au retour des beaux jours. Je n’en
ai pas vraiment parlé ici mais, au cours de la période estivale, il y a
également de très nombreux festivals, pour la plupart gratuits, accueillant
parfois de grands noms (IAM était par exemple présent aux Francofolies de
Montréal). Malgré
tout cela, mon envie de découvrir le pays dans son ensemble est bien plus forte que celle de prendre mes quartiers pour quelques temps dans la capitale Québécoise.
« Rester c'est exister : mais voyager, c'est vivre. »
– Gustave Nadaud