Dès le départ, le gps pour éviter la circulation, nous fait grimper une côte énorme. La pente nous effraie mais José s'élance, je le suis. Je reste coincée en plein milieu d'une montée verticale, j'hurle, je recule, je bloque mon frein à main qui vu la pente ne freine plus, j'hurle à nouveau, je déploie toutes mes forces pour me placer derrière et pousse mon vélo en avant jusqu'en haut. cet effort titanesque m'a ruiné les poignets en rien de temps. J'entend au loin José qui klaxonne, je n'ai même pas pensée à klaxonner tellement je suis flagada. Lorsque nous nous retrouvons '' no comment '' Pour une fois nous n'avons rien réservé, nous couvrirons 60,900 kms. Nous avons bien fait de faire confiance, car il reste une chambre à l'hôtel Medusa ( même si celle-ci dépasse largement notre budget) face à la mer et nos vélos sont à l'abri. José me connait très bien, lorsque je suis fatiguée, mes yeux ne trompent pas, aussi il m'offre le resto '' chez Pinolo '' où nous savourons trois plats d'un autre monde. Nous sommes requinqués et après une bonne nuit tout sera reparti.Ciao, bona note!!!!
Bonsoir les amoureux de la vie !
Ravie de vous retrouver. À te lire, ma soeur, j ai l impression que tu décris la vie ; volonté, effort récompenses ! Un peu ce que l on nous a inculqué ?.
Qui sait ? C est , peut être la vérité !
J espère que vous vous régalez. Merci de votre partage qui, pour moi, va au delà de votre magnifique aventure.
Je vous bisouille bien fort.