Après discussion, une réflexion personnelle :
En général, je me rends compte qu'un homme est davantage cartésien , pragmatique, il voit plutôt les choses dans leur ensemble, leur globalité. comme le dit ma petite mère : il détiendrait une sorte de grande armoire avec des tiroirs , lorsqu'il se rend au bureau, il ouvre celui où sont rangés les classeurs puis en fin de journée le referme et passe à autre chose, le sport ou la maison, par exemple , il en ouvre alors un autre ...
Une femme généralement regarde, observe plutôt jusqu'au moindre détail , du coup, elle se charge davantage. Comme le dit ma petite mère : Elle disposerait d'une vaste commode où tout se côtoie : les petits mouchoirs avec les serviettes, les sachets de lavande, au beau milieu du petit linge, une vieille lettre, des photographies de famille, des lainages, pourquoi pas quelques recettes rapportées de voyage... Bref, un " fourre tout ", dans lequel elle s'y retrouve car chaque chose est une histoire, chaque chose a son importance.
Lorsque ces deux mondes partagent leurs idées, il est évident qu'ils leur faut un certain temps d'adaptation avant qu'ils comprennent et puissent respecter leurs ressentis mutuels, leur champ de vision n'étant pas le même .
Pourtant, lorsque chacun des deux est attiré(ée) par un tableau de maître, certes, en premier lieu, ce qu'il dégage dans son ensemble, sa globalité, fait qu'il ou elle se rapproche de l'oeuvre, MAIS, en y regardant de plus près, ne sont-ce pas tous les petits détails qui en font sa beauté, sa plénitude , parfois même sa poésie !!!
Deux mondes différents , complémentaires qui, s'ils parviennent à s'accorder une bienveillance mutuelle, peuvent créer ensemble, une oeuvre harmonieuse, accompagnée d'une jolie mélodie , une approche du bonheur ;
Je vous souhaite de composer ensemble une douce symphonie.
Hello Les Vélos-Trotters !
(Je recolle, je recolle à votre actualité...)
Voilà un reportage plein de sensibilité et de poésie sur le yin et le yang.
La complémentarité cosmologique des différences pour créer l'harmonie.
Quel un joli sujet de méditation !
Sinon, José, la photo de Ginou devant la Hot Rod rouge a fait tilt dans ma mémoire.
Elle m'a tout de suite rappelée l'album Burgers (1972) du groupe de blues-rock californien Hot Tuna. Sauf que la caisse est noire et la photo prise en bord de mer (d'où l'un des titres Water Song).
Prenez bien soin de vous.
Bises.
@ Pierre-Antoine
P.S. José si tu continues tes cheveux seront bientôt aussi longs que les miens ;-).