La dolce Vita, j'ai apprécié ce jour où nous avons flâner dans les rues de Rome, découvrant au gré de nos pas ses nombreuses piazza, chaleureuses, animées par des groupes de musiques de styles différents, aussi des artistes peintres, des saltimbanques transformés en statues de sel, ses trattoria, ses bars , ses petits stands farcis de souvenirs. Ça grouille de vie, ça respire la joie, la fantaisie, ça fait du bien. Par hasard, nous sommes tombés sur la piazza della Minerva (déesse de la beauté et des arts) où une église française abrite trois immenses tableaux du Caravagio. Une fois de plus , nous avons été saisis par les expressions ainsi que la lumière qui émanent de ses personnages principaux. Je les entends nous raconter ce qui est en train de se passer. José m'explique qu'on l'a baptisé: le peintre du clair-obscur, cette définition lui sied bien. Demain, nous reprenons la route pour des contrées jamais foulées: une vraie découverte nous attend. Cependant, nous prenons conscience que nous nous éloignons de plus en plus de chez nous, des nôtres surtout, ça me fait flipper quand j'y pense et en même temps j'ai envie d'aller plus loin: un peu de clair- obscur à ma façon!!!!!!