Nous partons tout de même en rando d'un bout à l'autre de la baie de Venao. On y découvre les hôtels et les constructions dissimulée dans la végétation. Les plus grosses appartiennent à des gringos Américains mais aussi Français. Toujours le même scénario. Un foncier racheté à prix d'or par des investisseurs étrangers qui emploient, malgré tout, la main d’œuvre locale. Venao était, il y a encore quelques années, une plage presque déserte, fréquentée par les campements des surfeurs. Même si on est loin de la Grande Motte, les petit complexes qui s'installent presque sur la plage attirent de plus en plus de monde à la recherche de vagues et de fiesta.